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 Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler.

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MessageSujet: Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler.   Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler. EmptyLun 29 Avr - 14:25

Hannibal Jeanne Stinson

Personnage
Surnom : Le crâne qui ricane (en référence à son tatouage).
Âge : Bientôt trente ans.
Groupe : Pirates.
Métier/Grade : Vice-capitaine.
Navire : The Sloop William
Rêve : Aucun. Excepté peut-être savoir lire et écrire, mais c'est un secret.

IRL
Pseudo : Jeanne suffira !
Âge : 19 années, bientôt 20.
Comment t'es arrivé là ? : J'ai suivi un récent partenariat :3 ♥.
Remarques, suggestions : Aimons-nous, ça suffira.
Avatar : Cat cover - cellar-fcp on deviantArt.

Description globale


« Mon plus grand rêve ?…Être un hippopotame. »

Un hippopotame. De grandes dents. De grandes pattes. De bonnes joues joufflues. Une peau tachée et dure. Une force herculéenne. Un danger pour tous. Une folie. Un cas. Un regard. Un rire. La joie. La tristesse. Un rugissement. Des os qui s’écrasent. De la peau qui se déchire. Des mugissements. Des soupirs. L’extase. La douleur. Le sang. Le carmin. Les vêtements troués. La noyade. Le manque d’air. La mort. Le silence. La saveur. Le sucré. L’immortalité. La descente. L’histoire. Le grotesque. Le sadisme. Le calme. Le repos. Et finalement, nager encore et toujours par de là les eaux.

« Oui. J’aimerai devenir un hippopotame. »

Jeune femme insensée que celle assise dans la ruelle. Aussi insensée physiquement que mentalement. On dit qu’il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d’émettre une hypothèse ; l’hippopotame la tourne seize fois avant de goûter un met. La voilà qui étire un sourire ironique à cette idée, ses yeux étincelants de malice. Mais à force de tourner sa langue seize fois dans sa bouche, ne risque-t-on pas de s’étouffer ? C’est peut-être la différence qu’il y a entre cet animal et un humain. Nous mourrons, ils vivent. C’est cruel. D’ailleurs, on s’éloigne du sujet. Oh ? Et quel était-il ? Ton aspect corporelle. Ah…Quel ennui. Tu me réveilleras quand tu auras fini.

« Pour l’hippopotame, qu’importe la beauté ou la laideur, il bouffe ce qu’il trouve, point. C’est injuste, mais au moins c’est bon. »

Elle rit à cette idée, ce rire un peu faux, un peu grossier claque dans l’air, il attire le regard de ces passants. Ça les dérange, ça les dérange cette façon d’agir, toujours décontractée, à la limite de l’offense. Pourquoi penses-tu à l’hippopotame ? Pourquoi ne veux-tu pas devenir un de ces paons de la basse-cours ? Ou bien un grand et beau tigre aux griffes acérées ? Je ne sais pas, quelque chose qui te ressemble, quelque chose de gracieux, de féminin. Mais certainement pas un hippopotame. Ils ne t'aiment pas ces gens là, tu es une catin, la catin de la ruelle, la bâtarde d'un noble, le crâne qui ricane, la vice-capitaine d'un effroi.

« Et pourquoi pas ? Un hippopotame, c’est grotesque, et je préfère choisir ce que d’autres ne choisissent pas. »

Tu sais quoi Jeanne ? Tu es une véritable emmerdeuse. Ça se lit sur ton front ; attention, atteinte du virus de la bêtise, à ne pas côtoyer. Tu étires un immense sourire amusé ; ce que je dis te faire rire. Enfin, ce que tu penses. Je crois que l’on perd un peu notre lecteur ma chère, serait-ce voulu ? Certainement. Tu n’es pas schizophrène, tu aimes juste faire des choses que d’autres n’ont jamais faits. Sale haut perchée, sale petite bâtarde s'enfuyant de chez son papa bourgeois, sale catin recueillie par un navire a à peine dix-sept ans...Putain devenir nonne, oui, une putain se parant du voile de la blancheur tandis qu'elle n'est que boue et immondices. Qui es-tu ? Celle qui s'est amusée à monter dans les arbres, à rêver de voyages enfant, celle qui de son pauvre couteau égorge les grands dans un sourire saurien. Celle qui danse en combattant, celle sauvage qui n'hésite pas à prendre tous les coups pour sa capitaine et la main qui l'a sauvé de la boue. Celle connue pour cette lame courte et ce regard peu enclin à la discussion, sa souplesse et son agilité. Sale hippopotame.

« Un hippopotame…C’est cool. »

Quand tu souris, et même quand tu t’ennuies, tes lèvres un peu gercées semblent peintes d’un rouge rieur. Un léger carmin. Naturel. Usé. Un peu sucré. Il colore le coin de ta bouche, il chatouille le haut de tes joues. Un petit rouge qui n’a rien à faire là. Un petit rouge sans dessus dessous. Dénudé. Un peu comme toi. Un hippopotame rouge. Une nuance carmin, aux connotations beiges. Simple rouge. Simple fantôme. Un petit farceur se cachant dans tes iris, exquises iris. Jeanne, ma chère Jeanne, pourquoi ne te pares-tu pas de broderies et d’autres bijoux, comme tant d’autres de ces nobles suintant de richesses et d’ignorance ? Pourquoi ne souris-tu pas avec suffisance ? Pourquoi restes-tu la vice-capitaine s'amusant à cacher son analphabétisme chronique ? Fille d'esclave, fille de riche, qui ne sait pas lire, ni même écrire. Tu aimerais apprendre tant de voyages dans ces livres, et c'est peut-être pour ça que tu es partie de ta cage dorée ? Peut-être, ou peut-être pas. Misse souplesse, madame l'infirme. Catin.

« On n’est pas dans mes horaires de travail. Soyons plutôt hippopotame, la vie à l’hippopotame… »

Tu murmures ça en fermant les yeux, t’accoudant sur tes genoux rocailleux, tes jambes brunes. Passerais-tu plus de temps avec les gens du bas peuple, dans la boue et la saleté, qu’avec les nobles riant avec pitié ? Tes paupières s’ouvrent. Un frisson parcourt mon échine. Ah, je crois que je t’ai offensé. Ton air impassible, ta façon de ne rien dire, de ne rien faire, tandis que je sens tes mains effleurant mes joues, agacées par mes paroles, par mon âme, par mon ignorance. Tes lèvres fines qui frôlent mon oreille, un petit soupir de ta part, une façon si sinueuse de m’offrir tes mots : Tais-toi, tu m’ennuies. Silencieuse, douceur saurienne. Sulfureuse, délicatesse reptilienne. Tu n’as rien déclaré, mais j’ai entendu ta pensée. La pensée d’un hippopotame.

« Je ne traîne ni avec le haut, ni avec le bas. La société, je m’en fous. Je reste avec moi-même, n’est-ce pas suffisant ? »

La suffisance. Un mot que tu n’aimes pas employer. Rien ne te suffit. Non, rien ne suffit à cette tête blonde, oui blonde. Un blond un peu vieux jeu d’ailleurs. Surtout les jours de pluie ; on pourrait te croire brune. Des cheveux blonds comme les blés…je dirais plutôt ternis comme la suie. Espionne qui aime s'intégrer aux cours de riches pour mieux les voler, pour mieux s'échapper par une fenêtre sans se soucier de la falaise de l'autre côté. Jeanne soupire. Elle n’aime pas les compliments, elle trouve cela ennuyant. Elle préfère les critiques. Ses joues légèrement creuses se gonflent, synonyme d’un nouvel agacement ; elle s’agace vite, la Jeanne, et son regard jette des éclairs, petits éclairs qui picorent notre peau, qui font un peu mal, sans pour autant torturer. J’aime bien ton regard, Jeanne. Parce qu’il n’est pas doux comme toutes ces femmes de la haute société. Non, ni doux, ni charmant. Ni exquis, ni mourant. Juste…Simplet ? Tu roules des yeux, le bleu se transforme en un vert un peu marécageux. Ils étincellent dans leur noirceur.

« J’ai des yeux à l’hippopotame ; je ne m’occupe que de mon regard, et pas de ceux des autres. »

Tu ris de nouveau, un rire un peu plus scintillant. Une clochette…Cette comparaison ne te va pas, comme le maquillage te rend plus mensongère encore. Non, tu préfères la simplicité, la simplicité physique, je veux dire. Car celle mentale, tu l’exècres. Tu cherches toujours la complexité. Monter les escaliers avec grâce et volupté ? Balivernes. Allons-y à l’envers et à cloche pied, et si tu tombes, tant pis pour le sang, les tâches, ça se nettoie, et ta vie est remplie de tâches nettoyées. Une main en moins, coupée pour vol, ça t'apprendra, et cela te rend atypique, comme les cicatrices couvrant ton corps dues à tant de chutes, de tortures au point que tu ne sens plus la souffrance. C’est peut-être ce qui te rend plus terne que les autres jeunes femmes ; ton absence de scintillement. On aura beau te parer de rubis et d’or, la lumière ne semble pas au rendez-vous, tu restes toujours la jeune femme que l’on remarque non pas pour une quelconque beauté ou bien un autre sourire charmeur, mais bien pour ton étrangeté. Tu es étrange, Jeanne, si étrange…Tu tournes le visage vers les pavés, et tu observes ce que d’autres n’observent pas ; le caniveau. Il est sale, ce trou béant, tu mordilles ta lèvre, absorbée dans tes pensées, celles d'une bâtarde devenue catin, catin devenue matelot, matelot devenue vice-capitane, tant absorbée qu’on dirait que le murmure chuchoté n’est qu’un incident de ta part.

« Dis-moi, tu préfères l’hippopotame ou bien le paon aux milles parures ? »

Je répondrais le paon. Oui, Jeanne, je répondrais le paon. Je t’imagine dans des robes incroyables, pleines d’argents et de contours en diamants. Je te dessine avec des petits mocassins d’un joli rouge, ou bien vert. Le vert t’irait bien, il s’accorde à tes yeux, à ton petit nez rond. Finalement, je gomme la robe, et je dessine un corset, un corset à lacets, des lacets que je dénoue lentement…Petit à petit…Pour observer une Jeanne soupirante, dans un somptueux lit. Une Jeanne aux joues rouges, une Jeanne aux yeux étincelants. Mais Jeanne n’est pas un de ces paons là, Jeanne est un hippopotame, alors, je préfère te mentir, et je te répondrais plutôt l’hippopotame. L'hippopotame qui aime détruire les riches par simple envie de piller leurs bibliothèques ; les livres tu aimes ça, même si tu ne les comprends pas.

« C’est nul. J’aurai souhaité être la seule à aimer les hippopotames. »

Quelle est cette manie de ne jamais vouloir faire comme les autres ? Tu es agaçante Jeanne, à détourner ainsi le regard pour ne pas fixer ton interlocuteur, comme s’il était d’un ennui mortel. Est-ce un jeu ? Un petit jeu de noble ? Jeanne, ce que j’ai décris plus haut n’est qu’un rêve. Jamais tu ne soupireras d’envie, jamais tu ne faibliras sous des paumes, jamais tu ne trembleras de peur, jamais tu…Finalement, Jeanne, il y a tant de jamais, et si peu de toujours. Quel est ton toujours ? Mon regard plonge dans le tien, il me prend aux tripes. Ce n’est pas un regard humain, ça. Il est plutôt monstrueux, je crois que c’est ce qui te caractérise tant ; tes yeux. Je fais une fixette dessus, je fixe cette fixette et cette fixette me fixe. Un vert luisant. Un vert suintant. Un vert un peu bleu. Un vert devenant bleu. Un marécage plongeant dans l’océan. Profond. Noir. Étouffant. Des pupilles qui se rétractent, des pupilles qui ne tremblent jamais. Des iris impassibles et dures. Un serpent.

« Je n’ai pas dis serpent. J’ai dis hippopotame. Est-ce dur à comprendre ? »

A nouveau un sourire caustique. Tes frêles épaules remontent un peu, ton cou se décale, une pose un peu plus courtoise, plus féminine. Ton dos se cambre, une cambrure plus noble, mais ça je ne te le dirais pas, après tout, je ne veux pas que tu me boudes ; catin noble. Ton regard est effrayant, Jeanne, aussi effrayant que celui marquant ton dos.

« Quelle transition, très cher, à m’en couper le souffle ! »

Ton dos, un dos sinueux, des hanches qui se déhanchent sans problème lorsque tu marches. Longues jambes. Peau d’albâtre. Longues jambes dénudées. Impudique. Tes cheveux qui frôlent tes formes. Tu es une femme, tu ressembles à une femme, comme toute autre femme. Une femme est une femme. Mais, ce qui fait ton unicité, ce n’est peut-être pas ton physique, plutôt ton mental. Deux grands yeux accrochés à tes omoplates. Oh, nous parlons bien du tatouage. Quelle bêtise tu as faite là, car à ma connaissance, il ne signifie rien. Il fait cependant toute ton unicité. Petit bout de crâne qui ricane sur ta peau, sur ta colonne. Petit bout de crâne aux yeux grands ouverts et aux mâchoires ricanantes. Un crâne qui ricane. Référence au surnom qui fait ta rumeur, car on dit que ceux aux gorges égorgées ont les yeux horrifiés, immobiles et contractés, leurs rétines imprimant simplement le tatouage de ton dos, un tatouage qui a l'air de rire, un crâne rieur...Ces victimes sont d'ailleurs en majorité des nobles, des chercheurs, des bourgeois, des riches, des incapables à tes yeux, pourquoi les massacrer ? Peut-être parce qu'ils ont eu l'importance que tu n'as jamais obtenu ; chut c'est un secret. Tu cibles les nobles, et tu n'hésites pas à utiliser de tous les moyens possibles pour te rapprocher de ces derniers...Surtout de la haute royauté, objectif ultime.

Ce tatouage n’est même pas spécialement beau. Je sais juste qu’il cache quelque chose, une petite brûlure, toute discrète…Jeanne, pourquoi t’en vas-tu ? Jeanne, je n’ai pas fini de te décrire. Et tes longues mains, et tes petits pieds ? Ta main droite remplacée ? Et ton vieux châle, et tes atours ? Et tes pourtours ? Je n’ai pas fini Jeanne. Si ta main droite est absente, elle est bien vite remplacée par des prothèses, un couteau, un pistolet, une femme sans main droite, quelle ignominie, une femme qui a su s'entraîner à tuer dans les bas fonds, pour sa survie, sa propre survie, seule. Car sans les belles robes, sans les couronnes et autres breloques insensées, qu’est-ce qui te caractérise en tant que femme, en tant qu'humaine ? Rien. Rien…Tu es un reptile. Et non un hippopotame. Alors, Jeanne, grande femme aux muscles saillants et au sourire aiguisé, à la dangerosité provocante et à la provoque de tout danger, à la fuite sous l’éternité et à la belle liberté, dis-moi...Pourquoi l’hippopotame ?

« …Et pourquoi pas ? »

"Elle apparaît et disparaît dans la danse d'une nuit. Elle laisse un sillage peu à même d'être aperçu. Sourire distant aux lèvres, elle ne se remarque pas. Crocs découverts, la voilà devenue fantôme joueur. C'est un serpent devenu hippopotame. Un hippopotame devenu serpent. Un reptile à la rancœur tenace, à l'esprit insondable. Croyez-vous qu'elle puisse aimer ? Elle aime, de la pire façon qu'il soit. Ses doigts étranglent, sa lame lacère, comme celle arrachant le hurlement d'une main. Et bien qu'elle n'en est plus qu'une, bien qu'elle semble si démunie coincée dans une prison, n'ayez aucune pitié. Je l'ai eu, cette pitié, et désormais, mon oreille repose dans la boue et mon nez ne semble plus à même de vouloir cicatriser...Hannibal, le crâne qui ricane, Jeanne, sans devoir ni vertu, un serpent assoiffé de savoir. Un serpent qui ne vole point le plus banal des ors, mais bien la plus surprenante des idées. Un livre offert au serpent, et le reptile devient agneau. Lire, écrire...Je ne savais pas même qu'ils pouvaient construire l'espoir sur lequel repose un être tout entier. Si j'avais su cerner l'animal plus tôt, si j'avais su comprendre ses yeux calculateurs, peut-être serait-elle déjà morte aujourd'hui, et aurait fini sa danse saurienne. Mais je n'ai pas su, et désormais, je ne suis qu'un livre contaminé par son venin." - Sire Rodrigue JackHammer.

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Jack Bellamy
Jack Bellamy
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Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler. Empty
MessageSujet: Re: Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler.   Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler. EmptyLun 29 Avr - 15:10

Yo ho, bienvenue.
Je ne vois rien à redire, tout est bon. Elle a l'air d'être aussi dérangée que Molly, je suis sûr que ça ferait un très bon duo xD
Validée, amuse toi bien à bord du Sloop William pirate

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MessageSujet: Re: Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler.   Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler. EmptyLun 29 Avr - 15:32

Merci Jackette o/ ! Ouais on va s'amuser elle et moi /out/ x)

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MessageSujet: Re: Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler.   Hannibal || Avec le canon d'un flingue entre les dents, c'est sûr qu'il est plus difficile de gueuler. Empty


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