Animations et emplettes de fête [Libre, Libre et Libre !]

Par une belle matinée ensoleillée, Luana avait décidé de se rendre en ville. Enfin, décidé était un piètre mot pour décrire la faim qui lui tenaillait le ventre. Elle ne s'était pas nourrie depuis plusieurs jours, ayant d'abord oublié puis s'étant rendue compte, qu'en fait, il était peut être temps de faire les courses...

Elle habitait dans la jungle, à quelques kilomètres de la ville là où peu de personnes venaient l'embêter. Une rumeur courait sur une voyante complètement folle dingue qui parlerait aux lianes, mais beaucoup pensaient que ce n'était que foutaises. Et personne (ou presque) ne savait que c'était d'elle dont il s'agissait.

Affamée, laissant derrière elle une légère odeur d'humidité et de renfermé, Luana se "baladait" donc dans la ville parmi les commerces. Lorsqu'un fruit tombait d'un étalage (ce qui arrivait régulièrement, avec le monde qu'il y avait), elle le ramassait et l'ajoutait au petit tas qui se formait dans sa besace rouge. Tranquillement mais surement, elle se dirigeait vers le port pour négocier les poissons les moins chers du marché. Elle possédait bien quelques pièces, mais elle ne comprenait pas vraiment pourquoi tant d’intérêt pour ces petits cercles dorés. Pouvaient-ils nourrir ? Ou guérir ? Non ? Et bien alors ?

C'est en pensant aux quelques pieces dans sa poches qu'elle avançait, tranquillement, regardant autour d'elle marmonnant dans sa barbe telle une dégénérée.

"Jamais compris. Quelle connerie ! Ca a un gout de chiotte ces trucs là. Et je le sais bien pour y avoir déjà goutté. Quand on a plus rien à bouffer, on fait ce qu'on peut, pas vrai Luana ? Franchement, très bof... Mais leur poissons aussi est fichtrement dégueulasse ! Les pousses de pissenlits, y a qu ça de vrai !"

Ses paroles se perdaient dans la foule, prononcées uniquement pour elle...

« Les belles pommes ! Deux pièces seulement ! »

seulement

« Lâche-ça immédiatement. »

« Faudrait p’t’être penser à me donner quelqu’chose pour me remercier nan mademoiselle pissenlit ? »

Luana ne sentit pas sa bourse la quitter. A vrai dire, de toutes manières elle s'en fichait un peu...

Alors, lorsqu'une jeune femme blonde attrapa un grand costaud pour lui mettre sa lame sous la gorge, Luana ne compris pas vraiment quel était le rapport avec elle. Elle s'arrêta pour jeter un œil, comme tous les passants le faisaient autour d'elle avant de s'en désintéresser et de continuer son chemin.

Elle eut à peine le temps de faire quelques pas, que déjà la grande blonde lui tapotait sur l'épaule. Luana se retourna, sans un mot, la regardant tranquillement.
La dame lui rendit sa bourse, que Luana fourré dans sa besace en haussant les épaules, prête à faire de nouveau volte face. Mais, une main se tendit vers elle, paume vers le haut.

« Faudrait p’t’être penser à me donner quelqu’chose pour me remercier nan mademoiselle pissenlit ? »

Luana la fixa encore quelques instants, puis se résigna à fouiller dans sa bourse pour donner un truc à la fille. Elle ne savait pas trop pourquoi elle lui demandait quelque chose, peut-être était elle dans le besoin ? Sans réfléchir, elle attrapa sa bourse et y fouilla quelques instants du bout des doigts.

Elle déposa dans la paume de la jeune femme un petit objet circulaire, aux formes arrondies. Une petite pierre grise, légèrement transparente qui était censée porter bonheur. Satisfaite, et considérant l'affaire terminée, elle s'en retourna continuer ses achats (enfin....).

[Désolée d'me barrer comme ça, mais Luana a pas un caractère ouvert... XD ]

PNJ : Pirates fugitifs.

Aujourd'hui était jour de fortune. Cela faisait si longtemps qu'ils moisissaient dans une cellule dans l'attente du jour où ils monteraient à la potence : ces quinze pirates avaient eu la bonne surprise d'avoir été libérés le jour de leur pendaison. Pas de la manière la plus légitime qui soit cependant : leur équipage les avait rejoint et, étant en surnombre, avait semé un chaos incroyable sur la place publique, qui s'était étendu sur une bonne partie de la ville. Les habitants en panique couraient se réfugier dans leurs maisons, d'autres se cachaient derrière des caisses, et les pirates profitaient de la situation pour piller tout ce qu'ils pouvaient et tuer les braves gens qui leur résistaient.

[HRP : Allez, on se tape l'incruste et c'est la fête!]

Victoria parvint à rejoindre la ville en quelques minutes et ne put que constater que la situation avait déjà rapidement dégénéré. Elle s'assura le temps d'un instant que les civils autour d'elle parvenaient à s'éloigner le plus possible ou à se réfugier dans un endroit sûr. Essayant d'éviter que la confusion générale ne prenne encore plus d'ampleur, la Capitaine tentait de les raisonner du mieux possible. Elle avisa finalement deux jeunes femmes qui se trouvaient un peu plus loin.

"Mesdemoiselles, ce n'est pas le moment de rester là, quittez les lieux !"

Mais ce n'était déjà plus le moment de bavarder, le groupe de pirates responsable de ce chaos venait finalement d'entrer dans le champ de vision de Victoria. Elle posa rapidement la main sur son sabre et le dégaina sans se poser plus de questions. Ayant entendu plus tôt l'arrivée de ses hommes, la Capitaine s'adressa à eux.

"Protégez les civils et maîtrisez ces bandits ! Tuez-les s'il le faut, il n'y a pas à se poser de questions, nous devons ramener l'ordre à tout prix !"

Assez ironiquement, le même Officier de la Marine qui avait un peu plus tôt reproché à Max d'avoir brutalisé un pirate prisonnier la sommait désormais elle et ses hommes de ne pas faire de quartiers. Il faut dire que ceux-ci étaient destinés à l'exécution publique, alors qu'il s'agisse d'une pendaison ou d'une mise à mort par arme blanche, la différence était vraiment, vraiment très subtile.

La Maître était parvenue à rameuter une dizaine de membres de l'équipage avec lequel elle avait débarqué le soir même, trois autres matelots en civil s'étaient joints à eux et leur effectif total se répandait déjà dans les rues de Santa Rosalia, même si un bon paquet des pirates à neutraliser se trouvaient dans la rue marchande, en témoignait l'agitation des civils et les quelques lames bien en évidence et déjà maculées de sang qui s'y baladaient sans complexes. Max coursait l'un de ces évadés depuis deux minutes déjà, dans le genre grande perche qui n'a pas grand chose sur les os mais qui a des grandes jambes, assez grandes pour décourager n'importe quel poursuivant moins têtu que la blonde.

Mais la blonde en question ne le rattrapa jamais car c'est Alvarez qui l'accueillit au tournant d'une rue avec le pain dans la gueule de la décennie. Max infligea un tacle à une rouquine à l'air louche mais qui n'avait pas l'air armée. La jeune femme blonde non loin de celle-ci sur laquelle elle se jeta pour un plaquage en règles, en revanche, avait un couteau sur elle et plus que le fameux mais très vague air louche, ça la faisait entrer dans la catégorie de ceux qu'ils étaient venus calmer.

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HRP : j'arrive dans la dentelle et dans la finesse, donc si je dois changer quoi que ce soit envoyez-moi un mp of course.

William était déjà en ville lorsque le grabuge commença, les civils étaient affolés, certain était déjà caché chez eux. Les pirates volés les habitations et tuer les pauvres gens qui se mettaient à travers de leurs chemins. Au milieu de la confusion générale, une petite fille abandonnée, elle avait 5 ans à vue d'oeil.

" Rentre chez toi petite, c'est dangereux ! "

Sans attendre, il la mit à l'abri, chez une famille, le temps que son ce passe. Manque de chance, un des nombreux pirates était déjà sur place, il pillait la maison. William posa la main sur son sabre et sans attendre, il attaqua le pirate. Par chance, le pirate n'avait aucune expérience, et William pût le battre sans trop de soucis.
Suite à sa, le jeune Owen sortit de la maison et vu une bataille ce préparer entre les pirates et la marine royale...

On était arrivées en ville y a peut Rosie et moi , je la suivait comme a mon habitude , a lui faire des remarque pour essayer de lui enseigner un peut de savoir vivre a cette demoiselle , Nous somme arrivée sur le marché ou du moins un des marché de cette grand ville , disons que le marché d'ici changée de tortuga , l'ambiance était biens plus agréable , il y avait de magnifique produit a toute les étales : Bijoux , Parfums et j'en passe , mais faut dire que le changement de vie que j'ai eu ne me permet pas d'acheter tout ces truc , je me retournât et je put constater que rosie avait disparue , je l'imaginer déjà maltraiter une pauvre personne sans défense je commence a ce moment la a courir partout dans le marché espérant la retrouver , me faufilant entre les passant , percutant certaine personne , m'excusant directement après m’être relevée . Soudains un mouvement de personnes vraiment important courait dans la directions opposée a la mienne rendant le passage assez difficile
et certaine personne hurler qu'il y avait des pirates . Instantanément je pensât a rosie qui était allez un peut trop loin avec sa méchanceté gratuite . Finalement je vit des personne fessant partie très certainement de la marine me dépassée , je les suivit discrètement . A partir du moment ou j’aperçus rosie je me mettait a courir le plus vite possible pour la rejoindre , mais entre temps une des femme du groupe de la marine qui était passée tout a l'heure ce jette dessus la plaquant , je prit mon second souffle fonçant sur la jeune femme qui dominer visiblement rosie pour la dégagée de la et c'est essoufflée que je dit:

«Ne . . . la ... touchée pas »

Tout se passa très vite.

Un groupe inconnu émergea d'une ruelle et commença à tout saccager et à bousculer tout le monde. Ils devaient être une quinzaine à tout péter, mais créaient un sacré bordel. Sur le coup, Luna ne compris pas tout. Les gens hurlaient, courraient dans tous les sens et elle elle restait là. En fait, elle s'en fichait limite... Des pirates... Et alors ? Au pire ils lui voleraient sa besace pleine de pommes...?

Perdue dans ses réflexions, elle ne vit pas tout de suite la marine arriver, et elle ne se douta pas une seule minute de la mandale qu'elle allait se prendre. Courses poursuites et combats commençaient à droite et à gauche lorsque Luana fut projeter à terre. Sa tête partit en arrière et s'écrasa violemment, l'étourdissant quelques peu. Elle resta quelques minute sonnée, avant de se redresser sur les coudes tandis qu'un liquide chaud et poisseux coulait dans ses cheveux. Elle regarda autour d'elle et vit la grande blonde qui l'avait mis à terre aux prises avec l'autre blonde a qui elle avait filé sa merde, à peine plusieurs minutes auparavant.

Ni une ni deux elle sauta sur ses pieds, empoigna sa besace et s'avança jusqu'au combat entre blondes. Sans prêter attention à la petite brune qui les regardait, elle fit tournoyer sa besace et l'envoya valdinguer dans la tronche de la fille de la marine.

Paf, dans ta gueule. Elle en avait rien à faire de la fille pirate, mais elle n'appréciait pas vraiment qu'on l'attaque, comme ça, sans raison. Et puis elle allait devoir aller se laver dans la rivière gelée. M-E-R-C-I.

Les combats continuaient aux alentours, mais semblaient lointains pour la jeune fille, qui ne se sentait pas concernée.

Je déchantai vite en voyant le caillou que la rouquine me fourra dans les mains. Un instant j’eus l’espoir que ce fut une pierre précieuse mais même en la scrutant sous toutes les coutures tous ce que je pouvais voir n’était qu’un vulgaire galet ordinaire. Un peu plus joli que la normale certes.
Je n’entendis même pas la marine nous demander de dégager les lieux. Oh j’avais bien vu qu’il y avait de l’agitation mais c’est comme partout hein, chaque chose en son temps, d’abord mon business.
J’allongeai une foulée afin d’interpeller mademoiselle pissenlit lorsqu’elle se fit cueillir à un détour par un énorme coup qui la fit tomber à la renverse. J’eus à peine le temps de sortir la dague que j’étais allongée sur le sol avec une assaillante au-dessus de moi.

« crevard »

C’est qu’elle avait de la poigne la madame, je n’arrivais pas à reprendre le dessus…
Heureusement pour moi Mary arriva à temps pour lui foutre un grand coup, rejointe presque en même temps par Pissenlit-girl. Profitant de ce lapse de temps je bondis sur mes pieds en position accroupit et foutu un coup de pied de toutes mes forces à la marine.
Pas l’temps de prendre conscience de quoi que ce soit, j’attrape un autre de mes couteaux (puisque l’autre à été envoyé je ne sais où) et bondit sur le type qui était juste derrière Mary. Honnêtement j’ai pas fait plus attention que ça à la femme qui m’avait renversé, il y a des priorités.
Bref, j’arrive rapidement à lui trancher une artère et me retourne vers le centre d’action, serait temps de mettre fin à la vie de la crevarde qui m’a sauté dessus non ?

La situation n'allait pas en s'améliorant, la fougue de l'Officier Grévy n'aidant pas vraiment, il est vrai. Mais son expérience restant tout de même indéniable et son utilité dans une telle situation étant certaine, Victoria n'allait pas la blâmer. Pas cette fois. Un rapide coup d’œil autour d'elle lui permit d'évaluer l'état de ses propres troupes. Ses troupes, car elle n'apercevait aucun membre de la Marine plus haut gradé qu'elle, ce qui l'attrista quelque peu. La Capitaine aperçu William Owen sortant d'une maison et l'interpella aussitôt.

"Owen, allez immédiatement aider l'Officier Grévy ! Les autres, tâchez de bloquer l'accès à la rue, il ne faut pas qu'ils puissent d'avantage se disperser dans la ville !"

Elle avait hurlé la deuxième partie de ses ordres à l'adresse des différents matelots qui les avaient rejoint et dont certains arrivaient encore du quartier général. L'important était d'assurer la protection des civils afin qu'ils ne finissent pas comme otages, et d'éviter que les pirates ne puissent étendre leur carnage et s'enfuir. Sa main tenant toujours fermement son épée, elle s'assura que ses hommes prenaient correctement leurs positions et que les autres, plutôt que de se disperser inutilement, se rassemblaient à ses côtés. Le groupe de pirates s'étant évidemment bien rapproché depuis, ils n'avaient pas ignoré plus longtemps la présence des forces de la Marine et la confrontation était désormais imminente et inévitable. Victoria prit une grande inspiration, tâchant de garder le plus possible son calme, indispensable dans un tel moment.

Et le tranchant de son épée rencontra dans un assourdissant bruit de fer la lame du sabre d'un premier pirate. La Capitaine le bloqua durant quelques secondes puis, esquissant un mouvement du poignet, abaissa sa lame sur l'avant-bras de l'homme afin de le désarmer et l'acheva finalement d'un geste ample qui vint loger son épée en plein cœur du pirate.

Victoria retira vivement sa lame du nouveau cadavre et recula de quelques pas, se mettant en garde et observant le déroulement de la bataille, la plupart de ses hommes étant désormais aux prises avec l'équipage de pirates.

"Ne vous dispersez pas et gardez vos positions ! Ne reculez sous aucun prétexte !"

Le Maître dégainait son sabre en vue de sectionner la main dominante de la jeune femme armée quand une paire de bras qu'elle n'avait pas vu venir la déstabilisa. À partir de là, Max n'eut le temps que d'apercevoir la rousse de tout à l'heure lui envoyer un sac lesté dans la tronche ; le coup de pied de l'autre, elle le devina aux plaintes en recommandé que ses côtes adressèrent à son centre nerveux. Elle s'effondra sur le pavé. Mais comme elle savait ce qu'on faisait aux marines à terre, l'Officier se releva aussitôt, une main sur le visage et l'autre crispée sur son arme, et se décala précipitamment au cas où un autre enchaînement l'attendait à la clé. Elle grogna à l'adresse des autres :

- Je vous prends même à cinq si ça vous chante ! Pour la forme, bien entendu. Ceci dit le temps de prendre une seconde pour analyser la situation, elle vit les trois coupables ainsi que d'autres marines arrivant en renfort dans le quartier et c'est un sourire dégueulasse qu'elle afficha avant de revenir à la charge.

Sans prêter attention aux éclaboussures rougeâtres qui jaillissaient déjà non loin, Max fondit entre la blonde et la brune pour abattre le pommeau de son sabre sur l'oreille de la plus jeune des deux, de manière à la déséquilibrer un bon moment et sans s'arrêter dans sa course, sauta derrière des étalages dans lesquels elle envoya un coup de pied lorsqu'elle se retourna vers ses adversaires. Les étalages en question et tout ce qui se trouvait dessus tombèrent dans les pattes de celles-ci. Reprenant un minimum son souffle, le Maître fit craquer ses cervicales avant de revenir sur les trois jeunes femmes, prête à les découper.

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HRP : SUPER GROSBILL, POUVOIR EN ACTION !

En sortant de cette maison, Victoria m'avais crié :

"Owen, allez immédiatement aider l'Officier Grévy !"

J'étais trop occupé à voir autant de jeune marine ou de civil mourir mais j'exécutai quand-même les ordres sans attendre, j'ai de suite couru vers l'officier Grévy et je la vis se relever et en mettre une à un jolie, mais jeune brune qui ne semblait pas armée. Pour l'aider, j'ai donc décidé d'en mettre une à une blonde, elle semblait être une pirate armée d'une dague. Je lui mis un coup de pied, de sorte à la faire tomber sur le pavé et à la désarmée.

"Je te laisse une chance, sois tu te rend, sois tu meurt "

La jeune femme qui j'avais agresser c’était prit une entonnant coups de sac dans la tronche suivit d'un magnifique coups de pieds de rosie et malgré qu'elle soit contre nous j'ai eu un peut de piter pour elle , piter qui s’envolât biens vite il faut dire vus la vitesse ou elle ce relevât , je ne remarquât même pas le pauvre gars a qui rosie enlevât la vie en un geste . Sans vraiment m'attendre a sa la jeune femme qui venait de ce relever vint entre rosie et moi m’asséna un coups avec le pommeaux de sont sabre sur l'oreille sans que je m'attende a sa . Je me recroquevillât accroupis proche du sol avec un petite douleur . Ces a ce moment la que je remarquât un sac de farine ouvert assez proche de moi je prit deux poignez , n'ayant aucune arme sur moi il me fallait utiliser ma ruse .

Au moment ou je me redressât avec la farine que j’avais dans les main je remarquât que la furie qui m'avait taper fit tomber l’étalage de fruit au sol pour nous déstabiliser et nous gêner dans nos déplacement . C'est a ce moment la que je vit rosie ce prendre un coups de pieds , un type était arriver a l'improviste et menacer rosie . Entre temps l'autre folle était revenue sur nous . Je prit mon courage a deux main et jetant la farine au yeux de nos deux opposant tout en courant pour plaquer L'homme au sol. Une foi au sol je prit l'un de ce bras et avec mon bras libre appuyât au niveau de son cou pour lui couper toute respirations , non pas pour le tuer mais juste pour le mettre dans légèrement dans les vapes .

Les gens étaient tous devenus fous.
Entre l'autre grande blonde hystérique et l'espèce de bellâtre qui venait de faire son apparition, l'avenir promettait d'être mouvementé.

La fille de la marine effectua un espèce d'enchainement digne des romans d'action, comme si elle était possédée par le démon.

Elle donna un grand coup dans un étalage qui déversa son contenu en se fracassant contre le sol. Luana se trouva bientôt aux prises avec tout une cargaison de fruits en tous genre... Bananes, oranges, pommes, faites votre choix !

Tout aurait pu se passer pour le mieux si des noix de coco n'avaient pas fait parti du lot... Horreur. L'une des bêtes noires de Luana, depuis ses 6 ans, lorsqu'elle avait failli s'en prendre une sur la tête et qu'elle s'était ensuite cassé le pied en shootant dedans rageusement.

Scène au ralenti, Luana se mit à hurler un "NOOOOOOOOOOOOOOOOON" strident, tout en se jetant en avant, par dessus les noix de coco qui roulaient un peu partout au sol.

Elle resta quelques instants la face contre le sol, les bras tendus contre sa tête. Son nez saignait à présent de la narine gauche.

Elle se redressa alors d'un bond, prête à esquiver une autre charge de noix de coco qui ne vint pas.
A la place, ce fut une grosse femme de la marine qui approchait d'elle.

elle commençait sérieusement à en avoir plein le cul. Assise sur les pavés, elle ouvrit sa besace, se saisit d'une pomme et la lui balança en pleine poire (Et PAF ça fait de la compote !). Le reste des fruits se trouvant autour d'elle suivait. Elle ne visait pas très bien, la ratant de temps à autres mais plusieurs fruits atteignirent leur but.

Tout en continuant ses tirs, elle invectivaient la grande blonde.

"Non mais t'es toquée ou quoi ?! T'as rien de mieux à foutre que d'attaquer des civils ? TIENS BOUFFE UN ANANAS ! ..."

Pendant son petit numéro, Luana n'avait pas réellement porté attention à la jeune brune et a la blonde pirate. En tous cas, lorsqu'elle tourna la tête vers elles, Luana remarqua que le brun un peu trop autoritaire était collé contre le sol, la joue trempant dans une petit flaque. Un grand rire sortit de la gorge de la jeune fille

"Bien joué cocotte !"

En fait, on se serait cru dans une taverne remplie d'ivrognes.

Bien sur que j'ai fais exprès de laisser la blondasse se relever, mettre hors d'etat de nuire Mary et me foutre un coup de pied qui me fais perdre l'équilibre...
Ahem ! Toujours est-il que, bien décidée à mettre fin aux jours de mon adversaire, je tente de m'elancer à sa poursuite. Tente par que je me suis fais surprendre comme une débutante par un autre marine surgissant de nul part. Obnibulée par mon adversaire j'avais oublié de faire attention à ce qui m'entourait.
Je brandis ma lame, prête à l'achever d'un vif geste très pro mais Mary s'occupe déjà de lui alors je repporte mon attention vers la blondasse et bondis en sa direction. J'appercois la rouquine esquiver les fruits comme s'il s'agissait de boulets de canons mais ne m'en soucis guère, trop occupée à avancer sans tomber parmi les fruits.
Enfin, je finis par me retrouver face à mon ennemis sans aucune autre personne autour de nous. Dégainant enfin une épée (après tout meme si je préfère les petites lames, les longues sont plus pratiques lors de duel) je me jette sur elle entièrement, décidé à la trancher au niveau du cou (mon endroit favori vous l'aurez compris), tout en criant :

"Enfin !!"

Voilà plusieurs minutes que Victoria ne s'occupait plus de la bataille qui se déroulait en parallèle et à laquelle participaient les Officiers Grévy et Owen. Non, la Capitaine n'entendait désormais plus que le fracas des lames qui rencontraient la sienne et se brisaient sous ses parades et ses assauts. Plusieurs autres pirates qui étaient venus se jeter sur elle avaient succombé sous les coups précis de Victoria, d'autres avaient eu plus de chance et n'étaient qu'évanouis, ce qui suffisait à les écarter définitivement de la bataille. À ses côtés, ses hommes se battaient avec tout autant de vaillance et suivaient scrupuleusement ses ordres, ne reculant jamais. La jeune femme fit un pas en avant, gagnant encore un précieux mètre, alors qu'elle délogeait son épée du cou d'un autre adversaire malheureux. Elle hurla, couvrant autant que possible le tumulte de la bataille qui faisait désormais rage dans toute la rue.

"Prenez vos positions à nos côtés ! Continuez de les faire reculer ! Sécurisez les rues adjacentes !"

Ses ordres étaient adressés aux nouveaux soldats et aux officiers de la Marine qui venaient de les rejoindre. L'alerte avait visiblement été rapidement donnée dans toute la base et les hommes commençaient à se déverser par centaines dans les rues de la ville, la sécurisant et gagnant du terrain. Le rapport de force s'était progressivement inversé, mais après tout, cela n'était qu'une question de temps compte tenu de la proximité du quartier général. La vue d'autant d'uniformes de la Marine motiva et exalta la Capitaine qui raffermit sa poigne sur son arme alors qu'elle paraît un nouveau coup et répondait en transperçant la jambe de son adversaire qu'elle acheva au moment où celui-ci s'écroulait au sol. L’ardeur des nombreux pirates qui emplissaient encore la rue ne semblait pas faiblir, toutefois leur nombre s'amenuisait et leurs troupes étaient désormais régulièrement obligées de reculer. Ce qui, dans une bataille, était l'ultime signe de faiblesse.

Elle ne s'était pas méfiée de la jeune fille qu'elle avait mise à terre, elle aurait pourtant dû. Celle-ci s'était amusée à balancer de la farine, méthode aussi spirituelle que désagréables pour les tissus oculaires. Plus chanceuse que son collègue Owen qui s'était immédiatement retrouvé plaqué au sol, elle eut le temps de passer une manche sur sa figure et de jurer dans un français impeccable.

- Merd-... Ah ! Ou presque, car elle fut forcée de constater qu'en plus de la poudre quelqu'un s'amusait à lui balancer des fruits. Comme tout individu doté d'un minimum d'égo, Max eut pour réflexe de se mettre en position de garde, une main devant la figure et en se disant que cette nana était tarée tandis que l'intéressée braillait qu'il ne fallait pas s'en prendre aux civils. Quand un ananas se fendit sur la lame de son sabre, la rouquine se détourna pour complimenter la brune dans sa manière de maîtriser l'officier Owen et Max en profita pour s'avancer jusqu'à la lanceuse de fruits, l'attraper par le col et de coller ses yeux encore rougis dans les siens :

- Il me semble que ma supérieure a ordonné aux civils de quitter les lieux, alors foutez l'camp avant que je vous boucle pour agression et insulte à un officier ! Ceci dit, elle la poussa vers Alvarez qui passait par là et le jeune marine entreprit de la trainer de force hors du champ de bataille. Le temps que l'officier Grévy remarque le retour de la pirate blonde, et avec une grosse épée cette fois-ci. Max la zyeuta un court instant, avant que cette dernière ne se rue sur elle en visant un peu trop bien pour être une débutante.

À défaut de pouvoir l'esquiver, Max para le coup à l'aide de son avant-bras droit qui ne lui était pas spécialement utile pour se battre dans ces conditions. Si ses gants ne protégeait pas de tout, ils lui permirent de se faire entailler le bras plutôt que la carotide et de ne pas coincer la garde de sa lame dans celle de son adversaire. Sans réfléchir, elle lui porta un estoc, directement suivi d'un violent balayage du pied, car elle ne voulait pas voir cette fille-là sur ses deux jambes une minute de plus.

Bam ! Je me retrouve à terre sans comprendre ce qu'il se passe, une femme m'étrangle et me fais une clef de bras. Je ne respire pas facilement et je n'ai plus qu'un seul bras libre.
Un seul bras libre ? Sa pourrais faire l'affaire pour me libérer....

"Arghh... Tu n'aurais... pas... dût... faire... sa !"

Avec le bras qu'il me restait, j'ai pris le bras qui m'étouffer et je l'ai repoussé. De l'air, j'ai enfin pu respirer, mais ce n'était pas le moment.
Je me suis servi de ce même bras pour lui frapper le visage à trois reprises pour ensuite la pousser sur le côté.

J'ai enfin pu me relever, et j'ai remarqué que rien ne s'arranger, et il fallait mettre à ce massacre en éliminant ces pirates....

J'avais visiblement le dessus , Je jettat un œil au combats , voyant tout ces cadavres jonché le sol c’était si triste , La mort n'est pas qu'elle que chose que j’apprécie de voir et pourtant je devait m'habituer a la fréquenter . Je tournât la tète et vit la furie tranché un ananas en deux , Pauvre ananas qui venait de mourir instantanément sont cadavre rejoignant celui des membre de la marine et des pirates . Étrangement , La folle n'avait pas attaquer la rousse au contraire elle lui laissât une chance de fuir le combats . C'est a ce moment que je sentit que tout allez basculer et que je me fit malmener par un de ces chien de la marine , pire que nous pirates , il ce cache derrière les lois pour terroriser le peuple et s’enrichir sur le dos d’honnête gens. Âpres m'avoir frapper 3 foi il me dégageât , je me jettat au sol pour simuler le fait que j'avais perdu consiance , espérant avoir un effet de surprise a un moment ou un autre. A ce moment la je ne pensez que a une chose , pouvoir me venger de ce type , c'est alors que je remarquât que proche de moi ce tenait la dague de Rosie , je la récupérât la cachant discrètement , je ne contait pas le tuer , je ne suis pas une tueuse , juste le mettre hors combats , ma connaissance en médecine me permettait de savoir ou frapper et c’était un sacré avantage

Luana se sentit à peine décoller du sol, ses vêtements pris dans l'étau que formait la grosse main de la blonde de la marine.

Celle-ci l’apostropha? C'est précisément à ce moment là que la rouquine se dit qu'elle la détestait, juste quand les premiers postillons arrivèrent sur son visage. En plus d'être grosse et laide, elle venait de lui balancer des microbes en gueulant alors que c'était parce qu'elle était con comme un balais que tout ça était arrivée.

Elle ne se sentit à peine passer d'une main d'officier à une autre. A croire qu'elle était un colis suspect qu'on dégageait de la grande place ! Elle n'avait pas encore été amenée bien loin lorsqu'elle hurla...

"POUR QUITTER LES LIEUX ENCORE AURAIT-IL FALLU QU'ON NOUS ATTAQUE PAS COMME SI ON ETAIT DES MAL PROPRES ! J'ME LAVE UNE FOIS PAR SEMAINE MOI, MADAME !!!!"

Satisfaite, elle se sentit soudain tomber. Le grand monsieur qui l’emmenait vers de nouveaux horizons venait apparemment de se faire assommer. Dans le cahot qui régnait sur la grand place, Luana fut heureuse de se sentir libre. Elle remua les épaules puis décida de continuer ses courses. Que les gens se battent, elle s'en fichait !

Elle s'approcha d'un étalage, attrapant un poulet au cou tordu d'une drole de façon qu'elle fourra dans sa besace, qui avait été allégée de quelques fruits un peu auparavant.

Je m'attendais à ce que la blondasse pare mon coup avec son épée et avait tenue ma garde pour ne pas lui en laisser la possibilité. Pourtant, je ne m'étais pas attendue à ce que celle-ci sacrifie son bras. Quelque part, cette réaction lui valut un minimum de respect, surtout qu'elle me poussa immédiatement à terre, plus rapide encore que moi. Décidant de ne pas m'arrêter là j'attrapai mon cout... merde c'est vrai que je l'ai plus.
J'attrapai ses deux chevilles en les encerclant d'un bras et tirai tout en tapant de toutes mes forces derrière ses genoux pour la mettre elle aussi à terre.
Je me jetai immédiatement sur elle pour lui foutre un gros coup de poing dans la figure, ignorant tout ce qui m'entourait, seulement concentré sur la marine que j'affrontai.

Cette fois, il était temps de marquer un tournant dans cette bataille et d'assurer leur main-mise sur la situation. Et d'en finir. C'était une déferlante d'uniformes de la Marine qui avait désormais pris place dans la ville, et les pirates fugitifs et leur équipage se retrouvèrent bien vite complètement encerclés et débordés. Victoria s'était progressivement frayée un chemin en première ligne à coup d'épée, achevant de mettre fin aux combats qui l'opposaient encore à plusieurs pirates. Lorsqu'elle arriva face aux pirates encore en vie, la plupart étaient blessés et tous avaient déposé les armes sans faire plus d'histoires. Elle posa un regard sombre sur leurs visages qui semblaient bien hideux aux yeux de la Capitaine.

"Bien, ligotez-les et mettez-les dans la première cellule disponible, leur sort est déjà tout trouvé."

Son épée toujours fermement dans la main, Victoria s'en alla s'intéresser au lieu où se trouvaient les Officiers Owen et Grévy, accompagnée de deux douzaines d'hommes de la Marine. Visiblement, leurs adversaires avaient été plutôt coriaces.

"On va s'arrêter là. Bon travail, Grévy, Owen."

Victoria fit signe aux colosses qui l'accompagnaient de se saisir des deux femmes avant qu'elles ne puissent poser plus de problèmes. Ils s'assurèrent de les priver de leurs armes, ce n'était pas le moment de subir plus de pertes.

"Mettez-les également en cellule, nous nous occuperons de leur cas plus tard."

Décidant qu'il n'y avait plus lieu d'être sur ses gardes, la Capitaine rengaina son épée et pu enfin poser un regard global sur la bataille qui venait de prendre place ici. Grâce à l'arrivée des renforts, les pertes dans leur camp avaient pu être minimisées, malheureusement elles existaient. Toutefois elles étaient moins nombreuses que du côté des pirates, ce qui était toujours une relative satisfaction. Elle passa une main dans ses cheveux, prenant un instant le temps de respirer calmement, avant de retourner s'occuper de l'organisation de la suite des opérations et du transfert des prisonniers vers la prison de l'île.

[HRP : Vous pouvez encore chacun faire un post afin d'en finir de votre côté !]

Max se sentit tomber ; ah, mais elle cherchait carrément à la défigurer ? Celle-là n'avait décidément peur de rien. L'officier voulut profiter d'avoir sous les yeux sa jolie poitrine pour y insérer la lame de son sabre et lui laisser pour seule et ultime occasion de réplique la possibilité de tacher son uniforme. Hélas, le sabre en question semblait avoir quitté sa main pendant ou après la chute, il est vrai qu'elle avait senti passer le coup de poing en pleine figure qui avait suivi. Max ne perdit pas son temps en lamentations sur son manque de chance et lui rendit un uppercut – si tant est qu'on puisse administrer un uppercut à un adversaire en dessous duquel on est coincé d'une manière ou d'une autre, puis attrapa ses longs cheveux de sa main ensanglantée, en lui en foutant partout au passage, afin de la forcer à se reculer parce qu'elle n'aimait vraiment pas sa tête.

Le temps de lui flanquer un coup de pied dans le bassin et Max était de nouveau libre de ses mouvements. La nouvelle vue dont elle disposait sur la scène comportait trois fois plus de marines que la dernière fois qu'elle avait pu observer les lieux. Le temps qu'elle se relève, crache le liquide ferreux qu'elle avait dans la bouche et la pirate se faisait maîtriser par des collègues. Dommage, elle aurait voulu la finir. Elle la finirait sans doute en cellule. Tandis que le Capitaine Vinter déclarait la mission accomplie et ordonnait aux troupes de retourner à leurs postes, Max se débarrassa du pardessus de son uniforme qui n'était décidément plus mettable et, lorsqu'elle croisa les marines qui emmenaient en prison la pirate déjà ligotée, elle lui glissa au passage :

- À bientôt. Sans équivoque et sans plus s'attarder sur les lieux du massacre.

Les cadavres jonché le sol, la ville était dévastée, il était temps de mettre fin au massacre. Certains pirates ont été fais prisonnier et... ces deux filles, aussi. J'avais un peu de pitié pour la plus jeune, la brune, mais après tous elles méritaient leurs sorts. Il fallait maintenant les transférer dans la prison de l'île, tout devrait bien se passer, elles étaient désarmées.

Heureusement, je n'avais que quelques cicatrices à mon visage et une marque au niveau de mon cou à cause de cette fille qui m'avait étouffé. Le combat terminé, je suis allé voir Victoria.

"Bon travail."

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